I apologise for all those who don’t speak French, but I am in a very good mood… why? Who knows, but I like to spread the happiness, and I am of the opinion that French is the language I desire to write in today (lucky I’m half French then isn’t it?)
So, commençons !
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Lorsqu’on te demande de te décrire. Que dis tu ? J’ai pris la décision de vraiment parler de moi pour ce poste. Peu de gens le savent, mais je ne suis certainement pas un livre ouvert. Je suis honnête, ce que tu vois, est souvent ce que je pense et que je suis, mais au fond, on cache toujours quelques petites particules de note veritable “Être”. Pour beaucoup, ce sont les timides, ceux qui parle peu ou pas, qui cache leur jeu… mais en réalité, ce n’est pas de ceux qu’il faut se méfier ! Je ne peux que parler pour moi, et de mon propre experience, mais j’estime ayant pas mal voyagé, et étant de nature partante pour essayer tout au moins une fois… que je commence à connaître ce qui est l’homme… même si je sais que je n’ai que fais une égratignure à la surface. Je sais qui je suis. Je le dis haut et fort.
JE SUIS MOI. JE NE SUIS PAS PARFAITE. MAIS JE M’AIME, ET JE SAIS QUE TOI, OUI TOI LÀ POURRAIT M’AIMER AUSSI.
Etre sur de cela me permet peu – à – peu à ne pas trop attarder sur ceux qui me dont mal. Qui refuse ce que je suis, ce que je peux donner, et finalement ce que je represente. Je ne suis pas comme tout les autres. On me le dis. Et on me le répète. Ce serait tout de même pompeux de ma part, de croire que je suis seule à penser cela, car au fond, dans le monde dans laquelle nous vivons, nous sommes tous unique… et nous somme tous pareil notre notre façon d’être unique. Que sont ceux qui se démarque vraiment ? Comment savoir si nous le sommes ? Je pense savoir.
Absinthe...
Ceux qui sont véritablement différente le savent, au fond de leur âme qui le sont. Je ne parle ni de la maniere de s’habiller, ni de ceux qui se donne des airs en buvant de l’absinthe au bord d’une rivière, chapeau melon à leurs cotés et un spliff dans l’autre main. L’individualité ce n’est pas ceux que l’on pointe du doigt dans la rue car leur apparence choque notre état d’âme, ni ceux que l’on entend parler d’art et de politique comme si cela aller être eux qui aller refaire une utopie dans un monde comme la notre, où à chaque carrefour on voit ce qui est un univers à la fois gigantesque et désastreuse.
Ceux qui sont au sommet de l’atypique sont ceux que tu croises peut-être deux ou trois fois dans ta vie, que tu trouve banale, ou même étrange au premier abord… mais que dés que tu fasses l’effort de creuser un peu plus dans ce qu’on appelle “l’intimité de chacun” on réalise qu’on à trouver une perle rare, une perle peut-être disgracieuse au premier regard… peut-être qui manque d’uniformité… qui ne brille pas comme les autres… mais qui te transperce le coeur avec un javelot… te figes où tu te trouves.
C’est en quelque sorte ce qui est l’amour. L’amour ce n’est pas pour moi un sentiment comme on pourrait le penser. La colère, c’est la colère. La haine… n’est qu’un sentiment parmi d’autre… l’amour… c’est un assemblage de tout les sentiments. Lorsqu’on aime… on est également heureux, en colère parfois… jaloux… on est un puzzle de sentiments. L’amour… c’est en réalité la recherche d’une personne, que l’on ne connaît pas encore, ou qu’on connaît… mais si pour certains l’amour leur “tombe sur la tête”… ce n’est pas totalement vrai… l’amour c’est la recherche d’un certain nombre de choses qui ne sont pas totalement quantifiable. Parfois on ne sait pas ce qu’on cherche, mais lorsqu’on la trouvé… on en est sur.
l’individualité c’est un peu comme cela. Un premier rencontre n’est pas determinant. Ce que beaucoup oublie, c’est qu’il y a une multitude de “choses” qui font que telle ou telle rencontre est une réussite ou non. Je ne peux plus compter le nombre de fois on ma dis “Oh ben ta copine… je ne l’aime pas!”. Plus tard… lors d’une autre rencontre… elle peut être plus réussite. Pourquoi ? De nos jours, la veritable individualité ils ne voient pas. On ne peut jamais juger un livre par sa couverture. Pourquoi ferons – nous pareil avec les personnes que nous croisons ?
Je ne peux savoir. Mais je sais qui je suis. Je suis historienne. J’aime fouiller. J’aime découvrir ce que fais vibrer les gens. Je veux connaître le plus de choses possible et le plus de gens possible. Si la vie est un chemin à parcourir, je veux le faire avec les autres.
J’ai des regrets. J’ai fais des erreurs, mais je pense qu’il faut donner plus de chances aux gens, car tout n’est pas entre nos mains. Pour certains, la part des choses qui n’est pas dans notre controle, c’est Dieu qui le détient… pour d’autres… c’est autrui. Pour moi, c’est le hasard. Ne laissons pas le hasard dicter notre vie, il faut lorsqu’on est déçu, remonter sur ce cheval métaphorique, et re-tenter de comprendre l’autre.
Vous allez peut-être me demander ce qui à prompter ce blog. Ce serait difficile d’en parler sans que cette personne sache que je parle, d’eux. Mais si je peux être plus sommaire dans ma pensée, je pense que cet individu pourrait bien s’entendre avec moi, mais je suis déçu de la manière que nous avons passé du temps ensemble… ce n’était que peu propice à la découverte d’autrui… et j’ai peur d’avoir perdu cette personne à jamais. Pourquoi ? Car nous, l’être humain tel qu’il ait… aime jouer.. jouer avec l’autre c’est son passe-temps favori… et cette bête est parfois trop fière pour creuser au plus profond de l’autre pour savoir ce qui ne va pas.
Je termine donc avec une idée fixe de ce que je fois faire. Donner une chance ultime d’autrui, que lui aussi, tout comme moi, doit faire d’avantage d’effort dans la recherche de l’individualité de chacun. Tout le monde sait, combien de fois on me la dis, que je ne suis vraiment pas comme les autres. Il y en a vraiment qu’une Roxane ? Tu m’étonnes que mes parents ne voulais que faire un enfant, il me faut des hommes et des femmes fortes pour comprendre ce que je suis. Beaucoup abandonne. D’autres savent qu’il y a au bout du chemin quelqu’un de peut-être fantastique. Tout comme tout le monde est.